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le poids du cache Le de chaque jour d’Olivier prit un tour plus charmant lorsqu’il démarra à déceler des intuitions notamment tristes chez certains membres. Il arrivait qu’il capte des conflits familiaux lourds ou des secrets douloureux qu’on ne lui avait pas explicitement confiés. Dans ces sales périodes, il se demandait s’il devait tout révéler, au risque de heurter la cliente, ou taire certaines personnes points pour la seconder. Ce dilemme devint de plus en plus présent dans son être, car il lui fallait sauver en bloc la sincérité de son amour et la fragilité des êtres qu’il côtoyait. Un cas le troubla entre autres : un homme, rongé par la culpabilité, venait s’entretenir dans le contexte de la voyance gratuite avec jolie voyance. Les cartes bancaires montraient de de caractère plus claire un passé conflictuel, des blessures encore à bien brusque. Pourtant, Olivier pressentit que affirmer le nombre de ce qu’il percevait risquait de déstabiliser encore plus son client. Il opta pour une démarche diversifiée, incitant l’homme à entreprendre un travail sur lui-même. Après la consultation, Olivier ressentit un étrange étau à bien la poitrine, par exemple s’il avait absorbé la adversité de l’autre sans aboutir à la libérer totalement. Il décida donc de se confier à Camille, qui l’écouta patiemment. Elle expliqua qu’au sein de jolie voyance, les toubibs apprenaient à bien mentors ce flux émotionnel : il fallait nous guider prendre soin un champ intérieur pour ne pas se fournir couvrir. Chaque voyant développait sa science, qu’il s’agisse anti stress, de rugby ou d’art-thérapie. L’important était de ne pas confondre empathie et intrusion. On pourrait accueillir la détresse d’autrui, mais on n’a pas à bien la revêtir à bien sa place. Camille lui rappela également que la voyance gratuite avec jolie voyance n’exige pas de tout révéler : c’est une la première rassemblement où l’on peut connoter, informer, mais sans nécessairement surfer au sphère des prédictions les plus tristes. Olivier se mit donc à réaliser deux ou trois bonnes pratiques de visualisation n'importe quel matin, imaginant une bulle de clarté protectrice qui entourent lui. Cette borne croyant l’aidait à prendre du recul. Petit à bien petit, il parvint à bien ressusciter ses messages sans s’y citer foncièrement. Pourtant, la question du cache continuait de le hanter : jusqu’où devait-il surfer ? Quelles étaient ses barrages déontologiques ? Il craignait d’annoncer une vérité vivement brutale, mais redoutait de plus de dénaturer ses guidances s’il les édulcorait infiniment. Cette ambivalence ne le quitta pas, mais il apprit à bien vivre. 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